Le bonheur et les conneries de ce genre
Récemment, je suis entré dans une période de ma vie où je m'intéresse de plus en plus à la psychologie et en particulier du bonheur, cette notion évasive. Je me suis amusé aujourd'hui à relativiser en comparant ma quête de bien-être à celle d'une mouche. De quoi une mouche a-t-elle besoin pour être heureuse ? Peu de choses, j'imagine. De quoi se nourrir et survivre ? On pourrait se dire que plus un être est doué d'intelligence, plus sophistiqués ses besoins deviennent en terme de bonheur. Qu'en est-il des humains ? On sait à quel point notre bonheur dépend de nos attentes et à quel point celles-ci sont malléables. C'est fou de penser que, collectivement, on a réussi à créer une culture qui nous pousse à croire que le bonheur passe par la consommation alors qu'on sait que : 1. Les événements positifs ou négatifs qui nous arriveront dans le futur auront un impact sur notre bien-être seulement de façon temporaire. Ce phénomène est dénommé "impact bia